Little Scientist
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Des étudiants en sciences ont testé leurs expériences sur leurs camarades... celles-ci n'ont pas toujours donné le résultat souhaité. Oups !
 
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 Duncan Spade [Finish]

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Duncan Spade
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Duncan Spade


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# LABO : 2
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Capacités: Pourquoi en aurais-je? Je n'ai même pas réussi à faire partie des Cobayes...
Année: 4ème

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MessageSujet: Duncan Spade [Finish]   Duncan Spade  [Finish] Icon_minitimeVen 27 Mar - 5:46

XxX
DUNCAN SPADE



IIDENTITY CARD

  • NOM : "... Suis-je obligé de le nommer?... Vraiment?... Oui mais, voyez-vous, j'ai honte de le dire... Roh, d'accord: Spade... Comment ça, vous voulez que je le répète? C'est à vous de mieux entendre, bon! ... Spade... Pourquoi je ne l'aime pas? Simple: ça ressemble à Speed, ou bien Space, et mes oreilles cillent dès que j'entend ces mots-là! Me voyez-vous prendre de la drogue qui me rendrais hyperactif!? Je ne crois pas, non..."
  • PRENOM : "Duncan Nathan. Ah-ha, ça rime. Allez-y, riez, ne vous gênez pas. N'empêche que je suis assez fier de mes prénoms: Duncan en l'honneur de mon oncle, mort au combat alors que je n'étais même pas né, et Nathan pour mon grand-père... Mon grand-père n'a rien fait de spécial, certes, mais mon poisson rouge s'appelait Nathan, et c'était mon meilleur ami lorsque j'avais six ans."
  • SURNOM(s) : "Dun. C'est simple et rapide. Mes plus proches connaissances me surnomment ainsi; quant au diminutif que m'a réservé ma petite amie, hé bien... je préfèrerais me taire, il pourrait y avoir des yeux sensibles qui liraient ces lignes, donc... Et en plus, elle m'en dit tellement que ça me prendrait une page complète toutes les énumérer!"
  • ÂGE : "22 ans et toutes mes dents! Ah, comme si vous n'aviez jamais entendus cette phrase débile et enfantine..."
  • ANNEE : "4ème année: ma dernière année ici. Ensuite, j'irais probablement vivre en appartement avec... vous-savez-qui... Comment, vous ne savez pas?... Ne me faites pas dire son nom, elle pourrait nous entendre et courir vers nous! Enfin, vers moi..."
  • GROUPE & LABO : "Je fais partie des Aspirants dans le Labo 2. Ce cher Labo 2 qui, je l'espère, m'enlèvera un des pires boulets que j'ai jamais connus!"
  • MORE ABOUT YOUR BAND : "Le Labo 2. L'antre des passionnés de psychologie, des spécialistes du cerveau humain, des adeptes de manipulations psychiques de toutes sortes faites sur des cobayes; pauvres humains que nous sommes.... Mais même malgré les erreurs médicales, les risques que tout foire et le poucentage de réussite peu élevé - il ne s'agit que d'étudiants, après tout -, je désire plus que tout offrir mon corps à la science. Enfin, le corps de quelqu'un en particulier, si vous voyez ce que je veux dire... Non mais vous l'avez vue!? Elle va jusqu'à devenir une Aspirante elle aussi! Ah, j'aimerais tellement qu'elle soit prise à ma place, comme ça son cerveau en sera tout chamboulé et elle oubliera peut-être mon existence! Remarque, j'adorerais faire partie de ce groupe car la psychologie des humains me passionne depuis mon adolescence, mais il ne faut pas se leurrer: ma principale raison de vouloir faire partie des leurs est de trouver un moyen de me débarrasser d'elle... "



IIPERSONNALITY

  • CARACTERE : "Tout dépent. Dépent de quoi? De mon humeur actuelle, de l'environnement, des gens autour, de leur humeur également... Étant passionné de psycho, il est normal que je m'intéresse un tant soit peu aux changements d'humeur et aux attitudes différentes que peuvent avoir les membres d'une seule espèce. Parce qu'en fait, on dirait que je ne vis pas; j'observe. Pour moi, chaque individu a une histoire propre, un passé distinctif, qui a des effets directs sur son attitude globale. Croyez-vous qu'une personne victime d'un viol, par exemple, agira comme une bourgeoise qui a toujours eu la vie facile? Je ne crois pas, non. C'est pour cela qu'à mon avis, tous ces humains représentent un cas à étudier, une sorte de cobaye. Et qui serait assez fou pour se familiariser avec des cobayes, hein? Raison pour laquelle on me voit rarement en compagnie de personnes de mon âge - sauf quelques exceptions, comme... vous-savez-qui... et de rares gars qui réussissent à me comprendre. Je n'apprécie pas vraiment être entouré, ça m'étouffe. Peut-être cela a-t-il un rapport avec ma claustrophobie, ou bien avec Helen - hé merde, j'ai dit son nom! - qui me colle avec autant d'ardeur qu'une sangsue assoiffée de sang. De plus, je déteste particulièrement parler de moi; on dirait presque que j'ai peur de me diagnostiquer moi-même! Quoique, j'ai déjà essayé, mais j'ai l'impression que si ça sort, ça marchera, et qui sait de quelle sorte de maladie psychologique au nom débile je souffrirai..."
  • CENTRES D’INTERETS : "Au cas ou vous ne l'auriez pas remarqué, je ne suis pas du genre à jouer au foot ou bien à passer ma vie entière devant des jeux vidéos. J'aime particulièrement apprendre, et j'apprends mieux sur le terrain que devant des livres. Remarque, j'adore lire, mais c'est davantage un passe-temps qu'une forme d'apprentissage. J'aime prendre des notes sur ce qui m'entoure, écrire de longs rapports à propos de telle ou telle personne qui aurait eu on-ne-sait-quel-passé-terrible et qui s'est mise à se ronger les ongles par tic nerveux dû à cette dite maladie. Pour savoir réellement ce qui se passe, il faudrait que je lui pose des questions sur son efance, ses parents, sa famille, et bla-bla-bla. Vous voyez, la papotage n'est pas trop mon truc. Si les gens savent qu'on les écoute ou qu'on les surveille, ils se mettent automatiquement sur le mode Défense, chose que je déteste. Sinon, mon idole numéro 1 est sans contredit Freud - j'ai même presque la totalité de ses livres chez moi -, de temps en temps j'aime me promener dans le parc avec Helen, main dans la main et tout ça - de temps en temps j'ai dit! et c'est pas parce que je suis solitaire que je ne suis pas romantique, loin de là - et ma nourriture préférée, les pâtes. Tout ce qui est italien, j'adore..."
  • SEXUALITE : "Hétérosexuel, sans nul doute. Je ne ressent aucune attirance envers les hommes, et c'est bien comme ça."
  • Plutôt ANGE ou DEMON ?
    Duncan Spade  [Finish] Ange10 75 %
    Duncan Spade  [Finish] Diable10 25 %
    "Ange, avec quelques perçées de colères par-ci par-là..."



IIIBIOGRAPHY & YOU

  • HISTOIRE : "Je suis né un certain 5 aout à Camden, New Jersey. La ville la plus dangereuse des États-Unis en 2002, 2004 et 2005. Bien qu'aujourd'hui, son statut ait descendu légèrement, rien n'empêche que je suis né là. Ce sont mes origines, et rien n'y changera. Fort heureusement, je n'ai pas eu le malheur de vivre dans la pauvreté, comme le tiers des gens à cette époque: mon père était le shériff de la ville, un homme très respecté du nom de Jake Spade. Ma mère, Isabella, s'occupait de ses enfants comme elle le pouvait, et avait une sainte peur des microbes. Oh, j'ai oublié de le mentionner: j'ai deux frères. Vince - mon aîné de deux ans - et Allan - plus jeune que moi d'un an - Spade. Avec la logique, vous aurez compris que je suis l'enfant du milieu. Ne soyons pas dupes: dans la majorité des cas, l'enfant du milieu de trois enfants est l'exclu. Le plus vieux se tenant avec le plus jeune par sentiment de protection, et vice-versa, je n'avais que moi-même comme compagnie. C'était comme ça durant une bonne partie de mon enfance. À l'école, j'étais assez réservé, car je me disais que si mes frères ne voulaient pas être avec moi, qui le voudrait? Un peu pessimiste comme pensées, mais bon. C'est pour ça que j'ai voulu un animal de compagnie. J'ai jeté mon dévolu sur un poisson rouge banal que j'ai nommé Nathan, comme mon grand-père et comme mon deuxième prénom. Nathan était la chose la plus importante qui comptait dans ma vie après mon père, chez qui je vouais une totale admiration, en particulier lorsqu'il revenait de sa journée de travail avec son uniforme de shériff et son flingue qui restait accroché à sa taille comme un simple jouet. Des fois, je garde encore cette image de lui dans ma tête, avant que l'Incident n'arrive...

    Je devais avoir six ans je crois. Durant la matinée, Nathan était mort dans son aquarium alors que ça faisait à peu près neuf mois que je l'avais. «Mais chéri, neuf mois c'est énooorme pour un poisson!», me disais ma mère pendant qu'elle lavait frénétiquement l'aquarium désormais vide de mon ancien compagnon. Elle venait de jeter le corps de mon meilleur ami dans les toilettes, et c'était tout ce qu'elle trouvait à dire. Inutile de dire que je pleurais toutes les larmes de mon corps d'enfant! J'avais passé tout mon après-midi dans ma chambre à pleurer, n'attendant que les bras réconfortants de mon père pour me calmer.
    Mais il n'arriva pas ce soir-là.
    Ni tous les autres soirs d'après.
    Lorsqu'on avait frappé à la porte ce soir-là, j'avais sauté de mon lit et m'étais accouru vers la porte d'entrée, un large sourire aux lèvres qui contrastait avec les larmes séchées sur mon visage. J'aurais dû me méfier du fait qu'on cognait à la porte, car mon père ne le faisait jamais. Mais, inconscient que j'étais à neuf ans, je n'avais pas fait le lien en voyant deux hommes sur le seuil en uniforme de policier qui avaient un air à la fois grave de la nouvelle qu'ils apportaient avec eux et étonné de voir un jeune garçon leur répondre avec un si large sourire. Même en voyant leur visage neutre, je ne cessai de sourire, car je pensais qu'il arriverait derrière eux, voulant me faire une surprire, car dans mon esprit, il devait savoir que mon poisson était mort durant la journée. Ma mère était vite arrivée à la porte, m'avais un peu poussée pour leur laisser de la place et fit entrer les deux policiers. Je voyais bien qu'elle avait les yeux humides, mais je n'avais toujours pas fait le lien. Le lendemain matin, ma mère nous dit que notre père était parti, et qu'il ne reviendrait probablement plus, car il était mieux là ou il était.
    Plus tard, je sus que Jake Spade était mort à la suite d'une fusillade entre deux gangs rivaux de Camden. Une balle perdue l'avait atteinte en plein coeur.

    Nous assistâmes aux funérailles. Je trouvais que ma mère était très jolie avec sa robe toute noire, ses gants noirs et ce mouchoir qui ne la quittait jamais. J'étais toujours collé à ma mère, car je ne savais pas pourquoi j'étais ici et pourquoi tous ces gens en uniforme avaient l'air attristés. Mes deux frères étaient partis manger des sandwichs au fond tout en parlant de temps en temps à tel policier ou telle tante qui était désolée et tout ça. Je pense que Vince savait pour mon père - il arrivait dans ses neuf ans, il devait bien comprendre - et il tentait de cacher la vérité au petit Allan, qu'il tenait sans cesse la main pour ne pas le perdre. Il devait penser également que j'étais en âge de comprendre, ça devait être pour ça qu'il me laissait avec ma mère. N'empêche, je ne compris que lorsque je vis son cadavre dans le cercueil.
    Ma mère était partie le voir une dernière fois, et évidemment je l'avais suivie. Elle avait refusée, mais les enfants sont de nature têtue et curieuse lorsqu'ils veulent...
    Il avait l'air si paisible ainsi, il avait l'air de faire un si beau rêve.
    Je me mis à pleurer dès que je sus qu'il allait être enfermé dans cette boîte durant le reste de son existence. C'était durant son enterrement, je tenais la main de ma mère. Ce fut lorsque je vis le cercueil descendre dans le sol que je ne pus m'empêcher de cesser de brailler. Je m'imaginais passer une vie entière dans une boîte comme celle-là, dans le noir le plus total. Ma claustrophobie avait dû commencer là: sans même avoir ressenti cette sentation d'être coinçé, j'en avais une peur bleue.

    Après cette dure période qu'est l'enfance, je suis entré dans l'adolescence. Le lycée. Cette nouvelle école, je l'avais crainte et espérée en même temps. Et maintenant que j'ai quitté le secondaire, je peux dire sans me tromper que je la craignais. Tous ces nouveaux visages, ces nouvelles ethnies, ces différentes classes sociales... Toute cette nouveauté me fichait la trouille. J'étais vite devenu le souffre-douleur de ma classe - j'étais le muet après tout, le gars pas social. Cette image de moi ne m'avais plus quitté de mon adolescence, mais ce fut elle qui m'appris ma passion pour la phychologie humaine.

    J'avais seize ans lorsqu'un nouveau arriva dans l'école. Matthews Nelson, qu'il s'appelait. Aussitôt, il devint le cancre de la classe, le pire cauchemar des plus peureux tels que moi. Il ne semblait avoir peur de rien, il semblait se ficher des conséquences de ses futurs-actes.
    Il me frappait souvent.
    De tous les gars de la classe, j'étais son souffre-douleur préféré, car il avait beau s'acharner sur moi, je ne lui montrais jamais que j'avais mal. Je ne pleurais pas, je ne m'enfuyais pas. J'éprouvais. Et Nelson s'était fait un devoir de me voir pleurer, alors il continuait avec de plus en plus de force.
    Je voulais évidemment me venger. Mais comment?
    C'était en fouillant dans la bibliohtèque de l'école qu'un livre attira mon attention: une vraie brique qui était signée Sigmund Freud. Ce nom m'intrigua aussitôt - j'en avais entendu parler quelquefois par mon père, passionné de lecture - et je le pris sans réfléchir davantage. Ce n'était pas compliqué: ce livre, je l'ai littéralement mangé! En plus de m'avoir trouvé une issue pour me venger de Matthews, je me suis trouvé deux passions: la lecture et la phychanalyse.

    Il ne me fallut à peine deux semaines pour connaître à fond mon cobaye ennemi Nelson - je passais mon temps à l'observer de loin, à prendre des notes et à discuter avec ses professeurs. D'après Freud, l'enfance des gens a un impact direct sur leur avenir, et ce Matthews a réussi à prouver les dires du phychanalyste: son père la battait. Ça, je l'ai découvert grâce à sa professeure d'arts - une véritable pipelette dès qu'on se mettait à lui faire les yeux doux - qui me racontais que ses dessins étaient violents et représentaient souvent son paternel. Il devint vite facile pour moi de mener de jeu qu'auparavant Nelson était le seul joueur, et il ma lâcha enfin prise à condition que je ne révèle rien de ce que j'ai appris. Cette expérience avec mon ennemi me permit de découvrir ce pour quoi j'étais fait: psychanalyste. Moi qui adorait observer, retenir, écrire, réfléchir et conclure, cette profession m'allait comme un gant.
    Je finis donc mes études au lycée en passant mon temps à lire à la bibli ou à prendre des notes sur toutes sortes de choses que je remarquais du monde qui m'entourait.

    Trois ans plus tard, je quittai Camden pour me diriger à l'Université de Philadelphia en Sciences Humaines: Phychologie."


Dernière édition par Duncan Spade le Sam 28 Mar - 1:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Duncan Spade [Finish]   Duncan Spade  [Finish] Icon_minitimeVen 27 Mar - 23:17

  • PHYSIQUE : "Pour ma part, je me définirai comme ceci: Grand, maigrelet, cheveux noirs qui se mêlent facilement, yeux trop détonnants, un peu de barbe sur le menton, une oreille plus décollée que l'autre, lèvres pinçées, regard neutre, visage dur. C'est ainsi que je me vois, point à la ligne. Mais, d'après ma chèèère Boyle:
    « Ah, Dunky! Tu savais que tu es à croquer lorsque tu me regardes avec ces yeux? Tu as un regard si animal, si envoûtant… tu savais que la plupart des filles sont sous le charme de tes yeux!? Et après, tu me demandes tout le temps pourquoi je te colle! Pour surveiller mon mec, voyons! Et tes petites lèvres qui embrassent si bien… mmm… Et tes cheveux, tellement doux! Et ton parfum : il m’envoûte, c’est pas compliqué! Et tes dents parfaites… et ton corps d’Adonis… et tes bras protecteurs… et ton torse sur lequel j’adore m’endormir… et tes mollets… »
    ... Vous voyez? Comptez-vous chanceux que j'aie coupé, sinon sa description de moi ne finirait jamais! De plus, je me demande ou elle va chercher de telles idioties: depuis quand mes yeux ont un effet animal!? Et elle doit avoir un flair exceptionnel pour sentir du parfum sur moi: je n'en porte pas! À moins que ce ne soit ce shampooing... M'enfin."
  • PETIT RESUME : "Première année: rien de spécial: quelques connaissances par-ci par-là, des analyses dont même la personne analysée ignore l'existence et rien niveau amoureux.
    Deuxième année: Voir Première année.
    Troisième année: Oulà, il y a du changement de ce côté-là! On était en février. Dehors, il y avait une tempête, je m'en souviens très bien; c'était pour cela que tout le monde se trouvait au foyer étudiant, et tout le monde était entassé les uns sur les autres. Épouvantable. J'étais resté assis dans un coin, bloc-notes et crayon en main, et regardai tranquillement toutes ces personnes qui cherchaient un coin ou se mettre. L'accumulation de personnes de styles différents pourrait être intéressant pour mon étude: lorsque les diversités s'affrontent... Malheureusement, je n'ai jamais fini cette fameuse étude. En fait, je n'y ai plus pensé lorsque j'ai vue Helen Boyle. Elle était là-bas, en train de parler à ses amies, un grand sourire aux lèvres et riant aux éclats. Elle avait un beau rire, Helen. Elle était jolie, Helen. Elle était naturelle, Helen. Pas du genre à se mettre du maquillage partout sur la figure. C'a été probablement ce qui me plaisait le plus chez elle: son naturel. Et le fait qu'elle détonnait des autres filles. Sans m'en rendre compte, je me suis levé et je me suis approché de son groupe.
    Je me suis mis à me traiter d'inbécile dès que ces mots ont sortis:

    «Salut, Helen.»

    Gros silence dans leur groupe de filles. Toutes avaient les yeux rivées sur moi, interdites. Après tout, c'était la première fois qu'elles entendaient Duncan Nathan Spade prendre la parole sans dire de grosses phrases tirées de Freud! Après quelque instants, le groupe tourna la tête vers Helen Boyle, qui était aussi étonnée que ses amies. Un peu mal à l'aise, elle répondit:

    «Salut... Duncan.»

    Le fait qu'elle ait hésitée en disant mon nom me fit presque rebrousser chemin, mais mes pieds restèrent ancrés au sol. Ils refusaient de bouger, parce que mes yeux refusaient de lâcher Helen ne serait-ce qu'une seconde. Après un second silence embarrassant, je me décidai:

    «Hum... ça te dirait qu'on... aille souper quelque part ce soir?»

    Voilà, c'était dit. Je sentis un énorme poids quitter mes épaules, mais je devais encore rester. Entendre la réponse d'Helen - qui ne se fit pas trop attendre:

    «Bien sûr. Viens me chercher devant la résidence Franklin à six heures.»

    Je lui ai souri, puis j'avais tourné les talons vers mon coin initial.
    Je venais de signer mon arrêt de mort."



IVYOU AND ONLY YOU

  • PRENOM & ÂGE : Camille, 17 ans
  • CELEBRITE SUR L’AVATAR : Jonathan Rhys Meyer
  • S'agit-il d'un Prédéfini / Free Place? Prédéfini - Lab 2, Aspirants
  • Comment as-tu connu le forum ? Par un de vos partenaires, Diamonds Aren't Forever
  • Quel est ton avis sur ce dernier ? Il est super! Je suis déjà passée le voir une fois ou deux, sans vraiment m'attarder, mais après l'avoir visitée de fond en comble je suis tombé dans son piège, je ne pouvais plus me défaire de son emprise sur moi... *téteuse off* ... En gros, super XD
  • As-tu bien lu le règlement ? Of courseuuuh! Bold & Delicious
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